Oeuvres et citations de Jean de LA FONTAINE

6934 citations de l'auteur Jean de LA FONTAINE (Page 116 sur 174)

<< <  111 - 112 - 113 - 114 - 115 - 116 - 117 - 118 - 119 - 120 - 121  > >>
Citation Œuvre Entrée
Quand tout faillit en toi, plus de goût, plus d'ouïe Fabl. VIII, 1 ouïe
Aussitôt on ouït d'une commune voix Se plaindre de leur destinée Les citoyennes des étangs Fabl. VI, 12 ouïr
Quel charme de s'ouïr louer par une bouche Qui, même sans s'ouvrir, nous enchante et nous touche ? Filles de Minée. ouïr
Il ne faut jamais dire aux gens : Écoutez un bon mot, oyez une merveille Fabl. XI, 9 ouïr
Voilà sa toile ourdie, Voilà des moucherons de pris Fabl. III, 8 ourdi, ie
La ruse la mieux ourdie Peut nuire à son inventeur : Et souvent la perfidie Retourne sur son auteur Fabl. IV, 11 ourdi, ie
La Parque à filets d'or n'ourdira point ma vie, Je ne dormirai point sous de riches lambris ; Mais voit-on que le somme en perde de son prix ? Fabl. XI, 4 ourdir
Que ne sait point ourdir une langue traîtresse Par sa pernicieuse adresse ! Fabl. III, 6 ourdir
Nul animal n'avait affaire Dans ces lieux que l'ours habitait ; Si bien que, tout ours qu'il était, Il vint à s'ennuyer de cette triste vie Fabl. VIII, 10 ours
Certain ours montagnard, ours à demi léché Fabl. VIII, 10 ours
Son menton nourrissait une barbe touffue ; Toute sa personne velue Représentait un ours, mais un ours mal léché ib. XI, 7 ours
Il est temps désormais que le juge se hâte ; N'a-t-il pas assez léché l'ours ? Fabl. I, 21 ours
Deux compagnons pressés d'argent à leur voisin fourreur vendirent La peau d'un ours encor vivant, Mais qu'ils tueraient bientôt, du moins à ce qu'ils dirent Fabl. V, 20 ours
Il m'a dit qu'il ne faut jamais Vendre la peau de l'ours qu'on ne l'ait mis par terre ib. ours
Bien fait de corps, mais ours quant à l'esprit Court. ours
Je vous paierai, lui dit-elle, Avant l'oût, foi d'animal Fabl. I, 1 oût
Esprits du dernier ordre.... Croyez-vous que vos dents impriment leurs outrages Sur tant de beaux ouvrages ? Fabl. V, 16 outrage
Il m'a dit.... Qu'il se devait contre Votre Excellence, Battre tantôt, et battre à toute outrance Papef. outrance
Discrétion française est chose outre nature Cand. outre [2]
Il est bon de parler et meilleur de se taire ; Mais tous deux sont mauvais alors qu'ils sont outrés Fabl. VIII, 10 outré, ée
Quand l'absurde est outré, l'on lui fait trop d'honneur De vouloir par raison combattre son erreur ib. IX, 1 outré, ée
L'impossibilité disparaît à son âme [de l'homme] ; Combien fait-il de voeux, combien fait-il de pas, S'outrant pour acquérir des biens et de la gloire ! Fabl. VIII, 25 outrer
Ce beau calendrier Rouge partout, et sans nul jour ouvrable Cal. ouvrable
Les longs ouvrages me font peur Fabl. VI, Épilog. ouvrage
Tant fut ouvré que.... Faiseur. ouvrer
À ces mots le corbeau ne se sent pas de joie, Et, pour montrer sa belle voix, Il ouvre un large bec, laisse tomber sa proie Fabl. I, 2 ouvrir
Ô gens durs, vous n'ouvrez vos logis ni vos coeurs Phil. et Bauc. ouvrir
Du goujon ! c'est bien là le dîner d'un héron ! J'ouvrirais pour si peu le bec ! aux dieux ne plaise ! Il l'ouvrit pour bien moins Fabl. VII, 3 ouvrir
J'ouvre l'esprit, et rends le sexe habile à se garder de ces piéges divers Scam. ouvrir
L'orient venait de s'ouvrir Fianc. ouvrir
Il leur tomba du ciel un roi tout pacifique Fabl. III, 4 pacifique
Tout petit prince a des ambassadeurs ; Tout marquis veut avoir des pages Fabl. I, 3 page [2]
Elle le fit de moitié plus jeune, d'une beauté délicate, et non plus un Mars, mais un Adonis qui ne ferait que sortir de page Psyché, I, p. 75 page [2]
Un païen qui sentait quelque peu le fagot Et qui croyait en Dieu, pour user de ce mot, Par bénéfice d'inventaire, Alla consulter Apollon Fabl. IV, 19 païen, enne
Qu'Apollon s'exprime en païen, Trouve-t-on cela fort étrange ? Lettres, XXIV païen, enne
Deux forts paillards ont chacun un bâton Qu'ils font tomber par poids et par mesure, En observant la cadence et le ton Paysan. paillard, arde
Sous sa houpelande Logeait le coeur d'un dangereux paillard Herm. paillard, arde
Maint d'entre vous souvent juge au hasard, Sans que pour ce tire à la courte paille Juge. paille
En mon pailler rien ne m'était resté, Depuis deux jours la bête a tout mangé Faucon pailler [1]
Boccace n'est le seul qui me fournit.... Il est bien vrai que ce divin esprit Plus que pas un me donne de pratique ; Mais, comme il faut manger de plus d'un pain, Je puise encore en un vieux magasin Servante. pain
<< <  111 - 112 - 113 - 114 - 115 - 116 - 117 - 118 - 119 - 120 - 121  > >>
Retour à la liste des auteurs