Oeuvres et citations de Jean de LA FONTAINE

6934 citations de l'auteur Jean de LA FONTAINE (Page 115 sur 174)

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Citation Œuvre Entrée
....On nous voit tous, pour l'ordinaire, Piller le survenant, nous jeter sur sa peau Fabl. X, 15 ordinaire
Nous y mettrons bon ordre Mandr. ordre
Ceci s'adresse à vous, esprits du dernier ordre Fabl. V, 16 ordre
Un ânier, son sceptre à la main, Menait, en empereur romain, Deux coursiers à longues oreilles [ânes] Fabl. II, 10 oreille
Un lièvre, apercevant l'ombre de ses oreilles ib. V, 4 oreille
Un petit bout d'oreille échappé par malheur Découvrit la fourbe et l'erreur ib. V, 21 oreille
....Censeurs, je vous conseille De dormir comme moi sur l'une et l'autre oreille Oies. oreille
Il lui fallut à jeun retourner au logis, Honteux comme un renard qu'une poule aurait pris, Serrant la queue et portant bas l'oreille Fabl. I, 18 oreille
Les murs ayant des oreilles, dit-on Quipr. oreille
D'où vient donc que ce corps si bien organisé Ne put obliger son hôtesse De s'unir au soleil ? un rat eut sa tendresse Fabl. IX, 7 organisé, ée [1]
Un Florentin, nommé le Magnifique, La possédait [la libéralité], en propre original Magn. original, ale [1]
Laridon et César, frères dont l'origine Venait de chiens fameux, beaux, bien faits et hardis Fabl. VIII, 23 origine
Le linge orné de fleurs fut couvert pour tous mets D'un peu de lait, de fruits et des dons de Cérès Phil. et Bauc. orné, ée
Tous [les anciens fabulistes] ont fui l'ornement et le trop d'étendue Fabl. VI, 2 ornement
Il [l'arbre] servait de refuge Contre le chaud, la pluie et la fureur des vents, Pour nous seuls il ornait les jardins et les champs Fabl. X, 2 orner
Prends ton pic, et me romps ce caillou qui te nuit, Comble-moi cette ornière Fabl. VI, 18 ornière
Elle [la goutte] prend l'autre lot, y plante le piquet [dans une cabane], S'étend à son plaisir sur l'orteil d'un pauvre homme Fabl. III, S. orteil
Autrefois le rat de ville Invita le rat des champs, D'une façon fort civile, à des reliefs d'ortolans Fabl. I, 9 ortolan
Un os lui demeura bien avant au gosier ; De bonheur pour ce loup, qui ne pouvait crier, Près de là passe une cigogne ; Il lui fait signe, elle accourt ; Voilà l'opératrice aussitôt en besogne ; Elle retira l'os.... Fabl. III, 9 os
Il se maintient cocu, du moins de la pensée, S'il ne l'est en chair et en os Coupe. os
Un loup n'avait que les os et la peau, Tant les chiens faisaient bonne garde Fabl. I, 5 os
Là croissait à plaisir l'oseille et la laitue Fabl. IV, 4 oseille
Apollon, irrité contre le fier Atride, Joncha son camp de morts ; on vit presque détruit L'ost des Grecs ; et ce fut l'ouvrage d'une nuit Fabl. XI, 3 ost
L'ost du peuple bêlant crut voir cinquante loups ; Chien, berger et troupeau, tout fuit vers le village ib. XII, 9 ost
La mer fit rempart aux Hébreux, Noyant les peuples ténébreux De l'ost aux têtes sacriléges Poésies mêlées, LXXIV ost
Tout en tout est divers : ôtez-vous de l'esprit Qu'aucun être ait été composé sur le vôtre Fabl. IX, 12 ôter
C'est, dit-il, un cadavre ; ôtons-nous, car il sent Fabl. V, 20 ôter
Je vous enseignerai par là Ce que c'est qu'une fausse ou véritable gloire Fabl. IV, 3 ou
Avant l'affaire, Le roi, l'âne ou moi, nous mourrons Fabl. VI, 19 ou
Un jour, sur ses longs pieds, allait je ne sais où Le héron au long bec emmanché d'un long cou Fabl. VII, 4 où
Et, puisqu'il faut que je le die, Rien où l'on soit moins préparé Fabl. VIII, 1 où
La mort ne surprend point le sage ; Il est toujours prêt à partir, S'étant su lui-même avertir Du temps où l'on se doit résoudre à ce passage Fabl. VIII, 1 où
Et le premier instant où les enfants des rois Ouvrent les yeux à la lumière ib. où
Et la nature A mis dans chaque créature Quelque grain d'une masse où puisent les esprits : J'entends les esprits corps et pétris de matière ib. X, 15 où
Chacun a son défaut où toujours il revient Fabl. III, 7 où
Favorisez les jeux où mon esprit s'amuse ib. VII, Dédicace. où
Pauvres gens qui n'ont pas l'esprit De garder du loup leur ouaille Cand. ouaille
Qui fut bien pris ? ce fut la feinte ouaille [homme déguisé en femme] Lun. ouaille
Le proverbe est bon, selon moi, Que qui l'oue a mangé du roi, Cent ans après en rend les plumes Lett. XX oue
Il ne sait que par ouï-dire Ce que c'est que la cour Fabl. VII, 12 ouï-dire
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