La plus grande partie des ouvrages de nos ornithologues ne contiennent que des descriptions |
Ois. t. VII, p. 17 |
ornithologiste |
Il est très probable que notre ortolan n'est autre chose que la miliaire de Varron, ainsi appelée parce qu'on engraissait cet oiseau avec du millet |
Ois. t. VIII, p. 1 |
ortolan |
; en Amérique on le donne à une petite espèce de tourterelle qui prend beaucoup de graisse et dont la chair est très délicate |
Ois. t. VIII, p. 3 |
ortolan |
Les os et les autres parties solides du corps, ayant pris toute leur extension en longueur et en grosseur, continuent d'augmenter en solidité |
Hist. nat. hom. Oeuv. t. IV, p. 338 |
os |
J'ose dire que M. Macquer et M. de Morveau sont les premiers de nos chimistes qui aient commencé à parler français |
Hist. min. Introd. t. VI, p. 105 |
oser |
On trouve des défenses et des ossements d'éléphant non-seulement en Sibérie, en Russie et au Canada, mais encore en Pologne, en Allemagne, en France, en Italie |
Époq. nat. Oeuv. t. XIII, p. 224 |
ossements |
À deux mois, le foetus a plus de deux pouces de longueur ; l'ossification est sensible au milieu du bras, de l'avant-bras, de la cuisse, de la jambe |
Hist. anim. ch. X |
ossification |
Après la destruction et la pourriture de ces matières végétales, la concrétion pierreuse se présentera sous cette même forme ; nous en avons la preuve démonstrative dans certains morceaux qui sont encore roseau en partie, et du reste ostéocolle |
Min. t. I, p. 426 |
ostéocolle |
La peur ou le besoin font tous ses mouvements [de la souris] |
dans GIRAULT-DUVIVIER |
ou |
La vivacité ou la langueur des yeux fait un des principaux caractères de la physionomie |
dans GIRAULT-DUVIVIER |
ou |
L'ouarine et l'alouate sont les plus grands animaux quadrumanes du nouveau continent |
Quadrup. t. VIII, p. 289 |
ouarine |
C'est elle [notre âme] qui forme la liaison de nos sensations, et qui ourdit la trame de nos existences par un fil continu d'idées |
Disc. nat. anim. Oeuv. t. V, p. 317 |
ourdir |
Le contour de la supérieure [mandibule] est bordé près de la tête et comme ourlé d'un rebord de substance membraneuse ou calleuse, criblée de petits trous |
Ois. t. XVIII, p. 31 |
ourlé, ée |
L'ours vit vingt ou vingt-cinq ans, et le temps de la gestation et celui de l'accroissement sont ordinairement proportionnés à la durée de la vie |
Quadrup. t. III, p. 30 |
ours |
Il ne faut pas confondre l'ours de terre avec l'ours de mer, appelé communément ours blanc, ours de la mer Glaciale ; ce sont deux animaux très différents tant pour la forme du corps que pour les habitudes naturelles |
Quadrup. t. III, p. 18 |
ours |
L'ours marin n'est pas le plus grand des phoques à oreilles, mais c'est celui dont l'espèce est la plus nombreuse et la plus répandue |
Quadrup. t. XI, p. 182 |
ours |
Si les jeunes oursons ont paru informes au premier coup d'oeil, c'est que l'ours adulte l'est lui-même par la masse, la grosseur et la disproportion du corps et des membres |
Quadrup. t. III, p. 29 |
ourson |
Tout le monde sait que l'outarde est, parmi les oiseaux d'Europe, celui qui a le plus de rapport avec l'autruche, et que la canepetière n'est qu'une petite outarde |
Ois. t. II, p. 238 |
outarde |
Ils [certains grands singes] sont très ardents pour les femmes, et assez forts pour les violer lorsqu'ils les trouvent seules, et souvent ils les outragent jusqu'à les faire mourir |
Quadrup. t. VII, p. 141 |
outrager |
C'est avec les parties bleues du lapis que se fait l'outremer ; le meilleur est celui dont la couleur bleue est la plus intense |
Min. t. VII, p. 254 |
outremer |
L'oiseau [le motteux], entraîné par le double motif de chercher sa nourriture dans une terre fraîchement ouverte et de se cacher dans la tranchée |
Ois. t. IX, p. 347 |
ouvert, erte |
Ils [les guillemots] ne peuvent trouver leur subsistance que dans une mer ouverte, et ils sont forcés de la quitter dès qu'elle se glace en entier |
Ois. t. XVIII, p. 18 |
ouvert, erte |
Suivant Gemelli Carreri.... l'on peut compter plus de dix mille ouvertures de mines, dans un espace de six lieues autour de Santa-Cruz |
Min. t. V, p. 53 |
ouverture |
Je ne parle pas encore de ces larges ouvertures, de ces énormes coupures qu'on trouve dans les rochers et dans les montagnes ; elles ont été produites par de grands affaissements |
Hist. nat. 2e disc. Oeuv. t. I, p. 158, dans POUGENS. |
ouverture |
Les îles Orcades forment une partie de son ouverture [d'un grand golfe], et semblent être dirigées comme si elles étaient une continuation des montagnes de la Norwége |
Hist. nat. Preuv. théor. terr. Oeuv. t. II, p. 103 |
ouverture |
Le plumage du ventre est ouvragé des mêmes festons sur un fond blanchâtre |
Ois. t. XVII, p. 99 |
ouvragé, ée |
Ces ouvriers du vieil océan dans le fond de la mer universelle |
Min. t. I, p. 288 |
ouvrier, ière |
Les voyages tentés sur la mer Glaciale n'ont pas encore ouvert une route de l'Europe et de l'Asie à l'Amérique |
Not. just. Ép. nat. Oeuvr. t. XIII, p. 329, dans POUGENS. |
ouvrir |
Ils [des lamantins] ont le trou ovale du coeur ouvert ; et par conséquent la femelle peut rester sous l'eau pendant la copulation |
Quadrup. t. XI, p. 254 |
ovale [1] |
Figure ovoïde |
Hist. anim. ch. X |
ovoïde |
Le paca s'accoutume aisément à la vie domestique ; il est doux et traitable, tant qu'on ne cherche point à l'irriter |
Quadrup. t. IX, p. 10 |
paca |
L'alpaca ou paco |
Quadrup. t. X, p. 382 |
paco |
Son caractère le plus frappant est un double long brin qui ne paraît que comme une paille implantée à sa queue ; ce qui lui a fait donner le nom de paille-en-queue |
Ois. t. XVI, p. 108 |
paille |
Les paillettes charriées par les eaux, ainsi que toutes les autres particules de l'or qui sont disséminées sur la terre, proviennent des mines primordiales de ce métal |
Min. t. IV, p. 219 |
paillette |
Rien dans la nature ne peint mieux la puissance et les droits du courage, que de voir ce petit oiseau [la pie-grièche], qui n'est guère plus gros qu'une alouette, voler de pair avec les éperviers, les faucons et tous les autres tyrans de l'air, sans les redouter, et chasser dans leur domaine sans craindre d'être puni |
Ois. t. II, p. 68 |
pair, aire |
Cet oiseau [le pinson noir aux yeux rouges] se trouve à la Caroline, il va par paires, et se tient dans les bois les plus épais |
Ois. t. VII, p. 202 |
paire |
Il est peut-être plus rare de voir deux paires d'aigles dans la même portion de montagne, que deux familles de lions dans la même partie de forêt |
ib. t. I, p. 113 |
paire |
La meilleure façon de conduire les dindons devenus forts, c'est de les mener paître par la campagne dans les lieux où abondent les orties et autres plantes de leur goût |
Ois. t. III, p. 204 |
paître |
On rougit dans la honte, la colère, l'orgueil, la joie ; on pâlit dans la crainte, l'effroi et la tristesse |
Hist. nat. hom. Oeuv. t. IV, p. 299 |
pâlir |
Nous devons diviser en deux grandes familles la nombreuse tribu des oiseaux aquatiques ; car, à côté de ceux qui sont navigateurs et à pieds palmés, la nature a placé les oiseaux de rivage et à pieds divisés |
Ois. t. XIII, p. 346 |
palmé, ée |