Le duc de Guiche se submergeait en bredouillages et en plongeons jusqu'à terre |
SAINT-SIMON
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509, 244 |
bredouillage |
Le duc de Guiche se submergeait en bredouillages et en plongeons jusqu'à terre |
SAINT-SIMON
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509, 244 |
submerger |
Le comte de Guiche disait des merveilles des esprits de vos pays chauds |
SÉVIGNÉ
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127 |
chaud, chaude |
Hors la maréchale de Grammont, on ne songe déjà plus au comte de Guiche [qui avait été tué] |
SÉVIGNÉ
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176 |
songer |
Une autre fois quelque diable fit une satire cruelle sur Madame, le comte de Guiche, etc. |
SAINT-SIMON
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92, 208 |
diable |
J'ai été très contente de Mme la duchesse de Guiche ; elle m'a paru moins femme que je n'avais cru |
MAINTENON
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Lett. au card. de Noailles, 29 juill. 1698 |
femme |
À la fin, M. le duc d'Orléans révérencia aussi, et tous deux [lui et Guiche], à bout de se dire, se complimentaient de gestes |
SAINT-SIMON
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509, 244 |
réverencier |
Il a prié en mourant la comtesse de Guiche de venir reprendre sa femme à Nancy, et lui laisse le soin de la consoler |
SÉVIGNÉ
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281 |
reprendre |
Le comte de Guiche est à la cour, tout seul de son air et de sa manière : un héros de roman, qui ne ressemble point au reste des hommes |
SÉVIGNÉ
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89 |
héros |
Une longue et cruelle indigence, de grands airs et un grand usage du monde lui avaient [à de Guiche] appris à se retourner |
SAINT-SIMON
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421, 75 |
retourner |
On dit.... que le comte de Guiche et Mme de Brissac sont tellement sophistiqués, qu'ils auraient besoin d'un truchement pour s'entendre eux-mêmes |
SÉVIGNÉ
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16 mars 1672 |
sophistiqué, ée |
Pendant la répétition de ce ballet, le comte de Guiche était très souvent avec Madame, parce qu'il dansait dans la même entrée |
LA FAYETTE
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Hist. de H. d'Angl. Oeuvres, t. III, p. 107, dans POUGENS. |
entrée |
J'ai vu deux fois ce comte [de Guiche] chez M. de la Rochefoucauld ; il me paraît avoir bien de l'esprit, et il était moins surnaturel qu'à l'ordinaire |
SÉVIGNÉ
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15 janv. 1672 |
surnaturel, elle |
M. le comte de Guiche a fait une action dont le succès le couvre de gloire..... vous voyez bien que son bonheur et sa valeur ne se sont point séparés |
SÉVIGNÉ
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3 juill. 1672 |
séparer |
Nous ne songeons plus qu'il y ait eu un comte de Guiche au monde : vous vous moquez avec vos longues douleurs |
SÉVIGNÉ
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Lett. 28 déc. 1673 |
douleur |
Nous ne songeons plus qu'il y ait eu un comte de Guiche au monde ; vous vous moquez avec vos longues douleurs |
SÉVIGNÉ
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28 déc. 1673 |
moquer (se) |
Je vis hier la duchesse de Sully et la comtesse de Guiche ; leurs têtes sont charmantes ; je suis rendue ; cette coiffure est faite justement pour votre visage |
SÉVIGNÉ
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4 avr. 1671 |
rendu, ue |
Mme de Brissac a une très bonne provision pour son hiver, c'est-à-dire M. de Longueville et le comte de Guiche, mais en tout bien et tout honneur |
SÉVIGNÉ
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111 |
tout, toute |
La comtesse de Guiche [qui venait de perdre son mari] fait fort bien ; elle pleure quand on lui conte les honnêtetés et les excuses que son mari lui a faites en mourant |
SÉVIGNÉ
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173 |
faire [1] |
Vous me dépeignez fort bien ce bel esprit guindé ; je ne l'aimerais pas mieux que vous ; mais je ne serais point étonnée que le comte de Guiche s'en accommodât |
SÉVIGNÉ
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Lett. 6 avril 1672 |
guindé, ée |
Le maréchal de Grammont conte en son langage que le comte de Guiche n'était pas un misérable, sans naissance, sans dignité, et que jamais il n'a marchandé le monseigneur à aucun maréchal de France |
SÉVIGNÉ
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Lett. 19 août 1675 |
marchander |
[Il y eut une dispute à la cour de Louis XIV en 1675, pour savoir si on devait aux maréchaux de France le monseigneur en écrivant ; la question fut tranchée en faveur des maréchaux] Après cela j'ai parlé du monseigneur : Ah ! mon Dieu, madame, m'a dit M. de Pompone, au nom de Dieu ! que M. de Grignan se garde bien du monsieur ; il ferait mal sa cour ; le roi s'en est expliqué sur le sujet du marquis d'Ambres ; il sera tondu ; le maréchal de Grammont conte en son langage que le comte de Guiche n'était pas un misérable sans naissance, sans dignité, et que jamais il n'a marchandé le monseigneur à aucun maréchal de France |
SÉVIGNÉ
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10 août 1675 |
monseigneur |