Le corps n'est tantôt plus que feuillage et que bois |
LA FONTAINE
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Ph. et Bauc. |
tantôt |
Sous ce dais qu'ont formé la mousse et le feuillage |
VOLTAIRE
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Scythes, I, 3 |
feuillage |
Sous le feuillage épais d'un verdoyant ormeau |
CORNEILLE Th.
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Berger extrav. II, 5 |
verdoyant, ante |
Un jeune arbuste prodigue imprudemment la luxuriance prématurée de son feuillage |
DELILLE
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dans le Dict. de BESCHERELLE. |
luxuriance |
Encor si vous naissiez à l'abri du feuillage Dont je couvre le voisinage |
LA FONTAINE
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Fab. I, 22 |
abri |
Entre ces tilleuls sans feuillage, Nous regarder comblait nos jours |
BÉRANGER
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Maudit printemps. |
combler |
Les dômes découpés en feuillage ou creusés en forme de cueilloir deviennent autant de corbeilles |
CHATEAUBRIAND
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Génie, III, V, 5 |
cueilloir |
Un seul arbre s'offrit, tel encor que l'orage Maltraita le pigeon en dépit du feuillage |
LA FONTAINE
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ib. IX, 2 |
encore |
Son sommet revêtu d'un plus rare feuillage, Et sa mousse et ses noeuds décèlent son grand âge |
DELILLE
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Imagin. III |
noeud |
Une forêt, dont les percés formaient autour de nous plusieurs arcades de feuillage |
BERNARDIN DE SAINT-PIERRE
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Paul et Virg. |
percée |
À travers les rameaux et le feuillage sombre, Je vois leurs yeux étinceler |
HUGO
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Orient. 33 |
rameau |
Amis reposons-nous sur ce siége sauvage, Sous ce dais qu'ont formé la mousse et le feuillage |
VOLTAIRE
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Scythes, I, 3 |
dais |
Le feuillage des arbres éclairés en dessous de ses rayons safranés [du soleil] brillait des feux de la topaze et de l'émeraude |
BERNARDIN DE SAINT-PIERRE
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Paul et Virginie. |
safrané, ée |
Je n'entends pas de fois les airs ravissants et mélancoliques d'un rossignol caché sous un feuillage que je ne sois tenté de croire.... |
BERNARDIN DE SAINT-PIERRE
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Étude 1 |
fois [1] |
Mes chers amis, quand je mourrai, Plantez un saule au cimetière ; J'aime son feuillage éploré, La pâleur m'en est douce et chère |
MUSSET
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Poés. nouv. Lucie, élégie. |
éploré, ée |
Que de leur feuillage sans nombre à jamais ils puissent faire ombre [donner protection] Aux peuples de tout l'univers |
MALHERBE
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II, 3 |
ombre [1] |
Mes chers amis, quand je mourrai, Plantez un saule au cimetière ; J'aime son feuillage éploré ; La pâleur m'en est douce et chère |
MUSSET
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I, Poés. nouv. Lucie. |
saule |
Des arbres mal choisis et d'un vilain feuillage ôtèrent aux promenades ce que des allées bien distribuées et des eaux jaillissantes auraient pu leur donner d'agrément |
RAYNAL
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Hist. phil. VI, 20 |
feuillage |
Oui, tu me resteras, ô funèbre héritage [un crucifix] ! Sept fois, depuis ce jour, l'arbre que j'ai planté Sur sa tombe sans nom a changé de feuillage, Tu ne m'as pas quitté |
LAMARTINE
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Nouv. Médit. le Crucifix. |
quitter |
On y voit [à Palmyre] une espèce d'arbre dont le feuillage échevelé et les fruits en cristaux forment avec les débris pendants de beaux accords de tristesse |
CHATEAUBRIAND
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Gén. III, 5, 4 |
accord |
Une bonne Notre-Dame des bois nichée dans le tronc d'un chêne ou dans le feuillage d'une aubépine |
BERNARDIN DE SAINT-PIERRE
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Études, 3e réponse aux object. |
niché, ée |
Il me semble que, sous les ombrages d'une forêt, je suis oublié, libre et paisible comme si je n'avais plus d'ennemis, ou que le feuillage des bois dût me garantir de leurs atteintes |
ROUSSEAU
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Prom. 7 |
oublié, ée |
Ou ce beau peuplier de qui l'énorme tronc, Lorsque de cent hivers il a bravé l'affront, Se festonnant de noeuds d'où sort un vert feuillage, Semble orné par le temps et rajeuni par l'âge |
DELILLE
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Jard. I |
festonner |
Elle [la vérité] regarde ces larves [les philosophes du XVIIIe siècle], et tous sont retombés dans leur fauteuil, tremblants comme le feuillage que les vents agitent |
GILBERT
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le Carnaval des auteurs. |
larve [1] |
Qui ne croit reconnaître une vierge craintive Dans cette délicate et tendre sensitive Qui, courbant sous nos mains son feuillage honteux, De la douce pudeur offre l'emblème heureux ? |
DELILLE
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Trois règnes, VI |
sensitive |
Les chênes à la longue vie, aux écorces rudes.... inspirent, sous leur ombre, des sentiments d'une tout autre nature que ces saules au feuillage léger, qui vivent peu et qui ont la fraîcheur des ondes où ils puisent leur séve |
CHATEAUBRIAND
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Dessin. |
saule |
Voyez cet arbre aux cieux monter avec audace ; Son feuillage est peuplé d'harmonieux oiseaux ; Ses fleurs parfument l'air, ses ondoyants rameaux Amusent les zéphirs ; mais sa base profonde Attache sa racine aux fondements du monde ; Telle est la poésie.... |
DELILLE
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Imag. v. |
poésie |