Citations correspondant à « aube » : 19 citations trouvées dans le Littré
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Et du temple déjà l'aube blanchit le faîte RACINE Athal. I, 1 aube [1]
Et du temple déjà l'aube blanchit le faîte RACINE Athal, I, 1 blanchir
Et du temple déjà l'aube blanchit le faîte RACINE Athal. I, 1 déjà
Fuyons, l'ombre s'efface et l'aube va paraître DELAVIGNE Vêpres sic. II, 7 effacer
Et du temple déjà l'aube blanchit le faîte RACINE Athal. I, 1 faîte
L'aube.... sème sur les monts les perles de l'aurore LAMARTINE Méd. I, 16 perle
L'aube du jour arrive, et d'amis point du tout LA FONTAINE Fabl. IV, 22 tout, toute
L'aube offre de douces consonnances avec les idées religieuses CHATEAUBRIAND Génie, IV, I, 2 aube [2]
L'aube [du prêtre] offre de douces consonnances avec les idées religieuses CHATEAUBRIAND Génie, IV, I, 2 consonnance
L'aube.... offre de douces consonnances avec les idées religieuses CHATEAUBRIAND ib. IV, I, 2 religieux, euse
Voici le gai matin qui sort humide et pâle Des flottantes vapeurs de l'aube orientale LAMARTINE Harm. I, 5 flottant, ante
Quelque fée ....Des feux de l'aube boréale Fit une palette idéale Pour ton pinceau magicien HUGO Odes, V, 22 magicien, enne
Quelque fée.... Des feux de l'aube boréale Fit une palette idéale Pour ton pinceau magicien HUGO Odes, V, 22 palette [1]
Pourquoi balancez-vous vos fronts que l'aube essuie, Forêts, qui tressaillez avant l'heure du bruit ? LAMARTINE Harm. I, 3 front
Que l'aube au tapis vert surprend à son retour, Veillant toute la nuit, se plaignant tout le jour DELILLE Trois règnes, III tapis
L'aube du jour arrive, et d'amis point du tout ; L'alouette à l'essor, le maître s'en vient faire Sa ronde.... LA FONTAINE Fabl. IV, 22 essor
Il n'est pas d'oiseau plus matinal : le rouge-gorge est le premier éveillé dans les bois, et se fait entendre dès l'aube du jour BUFFON Ois. t. IX, p. 289 matinal, ale
Pourquoi balancez-vous vos fronts que l'aube essuie, Forêts qui tressaillez avant l'heure du bruit ? Pourquoi de vos rameaux répandez-vous en pluie Ces pleurs silencieux dont vous baigna la nuit ? LAMARTINE Harm. I, 3 nuit
Le croup, monstre hideux, épervier des ténèbres, Sur la blanche maison brusquement s'abattit, Horrible, et, se ruant sur le pauvre petit, Le saisit à la gorge ; ô noire maladie ! De l'air par qui l'on vit sinistre perfidie ! Qui n'a vu se débattre hélas ! ces doux enfants Qu'étreint le croup féroce en ses doigts étouffants ? Ils luttent ; l'ombre emplit lentement leurs yeux d'ange, Et de leur bouche froide il sort un râle étrange, Et si mystérieux qu'il semble qu'on entend, Dans leur poitrine où meurt le souffle haletant, L'affreux coq du tombeau chanter son aube obscure HUGO Contempl. III, 23 croup