Citation de ROLLIN extraite de l'article "sein" du dictionnaire de français Littré
Quel autre motif [sinon une ambition démesurée] le porta [César] à tourner contre le sein de la patrie les armes mêmes qu'elle lui avait mises à la main contre les ennemis de l'État ?
(Charles ROLLIN, Traité des Ét. V, 1re part. 6)
Autres citations de Charles ROLLIN
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| Ce que nous avons de la peine à comprendre, chez tous les peuples anciens les chevaux n'avaient ni étriers ni selles, et les cavaliers étaient sans bottes | Hist. anc. t. XI, 1re part. p. 391 | selle |
| Selon Voiture, le secret pour avoir de la santé et de la gaieté, est que le corps soit agité, et que l'esprit se repose | Traité des Ét. III, 3, art. 2, § 2 | selon |
| Lycurgue voulait que la monnaie fût fort pesante et de peu de valeur, et, au contraire, que le discours comprît en peu de paroles beaucoup de sens | Traité des Ét. V, 3e part. 2 | sens [1] |
| Quels hommes [les Spartiates], s'écria par admiration l'un des seigneurs persans, qui ne sont sensibles qu'à l'honneur et point à l'argent ! | Hist. anc. Oeuv. t. III, p. 231, dans POUGENS | sensible |
| Ce qui fut le plus sensible au général carthaginois [Annibal], fut de voir Capoue assiégée par les Romains | Hist. anc. Oeuv. t. I, p. 450, dans POUGENS | sensible |
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