Citation de BONNET extraite de l'article "plante" du dictionnaire de français Littré
Nous voyons la plante naître, croître, fleurir et fructifier, comme nous voyons l'aiguille d'une horloge parcourir d'un mouvement insensible tous les points du cadran
(Charles BONNET, Contempl. nat. X, 30)
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Lorsqu'on fait l'anatomie d'une fève, on découvre une multitude de petits vaisseaux qui se ramifient dans la substance de la graine, et vont se rendre à la plantule par deux troncs principaux | Idées fécond. plant. Oeuvr. t. X, p. 90 | plantule |
Une chenille... les transportait [de petits morceaux de papier] au lieu où elle s'était établie... les liait avec des fils, posait les uns sur la tranche et les autres sur le plat... | Contempl. nat. XII, 16 | plat, ate [1] |
Les pleurs de vigne sont une extravasation très abondante de la séve | Lett. div. Oeuv. t. XII, p. 93, dans POUGENS | pleur |
Le procédé des plieuses suppose des manipulations plus recherchées que celles des lieuses ; elles plient les feuilles en entier ou en partie | Contempl. nat. XII, 7 | plieur, euse |
Ces oiseaux plongeurs qui, comme la macreuse, la grèbe, le plongeon, ne quittent guère l'eau | Contempl. nat. III, 26 | plongeur |
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