Citation de COLLIN D'HARLEVILLE extraite de l'article "rond, onde [1]" du dictionnaire de français Littré
Ma fortune est assez ronde, vous le savez
(Jean-François COLLIN D'HARLEVILLE, Vieux célib. II, 6)
Citation | Œuvre | Entrée |
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La jeunesse à l'amour est livrée, Et l'âge mûr au soin d'établir sa maison ; Croyez-moi, le bonheur est de toute saison | Optimiste, III, 9 | saison |
La santé peut paraître à la longue un peu fade ; Il faut, pour la sentir, avoir été malade | Optimiste, I, 7 | santé |
La maison sauterait plutôt que j'en sortisse | Vieux célib. II, 6 | sauter |
Vous m'annoncez quelqu'un si facile, si bon ! D'une ingénuité, d'une simplesse extrême | Malice pour malice, I, 3 | simplesse |
Jadis les demoiselles Soignaient les chevaliers qui se battaient pour elles | Chât. en Esp. IV, 5 | soigner |
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