Citation de CORNEILLE extraite de l'article "envoyer" du dictionnaire de français Littré
J'envoierai était très usité dans le XVIIe siècle : Jusqu'à toi, mon Sauveur, j'envoierai ma prière
(Pierre CORNEILLE, Imit. II, 9)
| Citation | Œuvre | Entrée |
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| Je ne m'oppose pas à la commune joie, Mais souffrez des soupirs que la nature envoie | Héracl. v, 8 | envoyer |
| Cette liqueur épaisse Mêle du sang de l'hydre avec celui de Nesse | Médée, IV, 2 | épais, aisse |
| Une épaisse vapeur s'est du temple élevée | Oed. II, 3 | épais, aisse |
| Ils l'ont enveloppé d'une épaisse fumée | Tois. d'or, v, 2 | épais, aisse |
| Sa gorge enfle, et du sang dont le cours s'épaissit Le passage se ferme ou du moins s'étrécit | Attila, v, 6 | épaissir |
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| Citation | Auteur | Œuvre | Entrée |
|---|---|---|---|
| Et pour vous y conduire Assuérus m'envoie | RACINE | Esth. III, 2 | envoyer |
| On m'envoie à Pyrrhus, j'entreprends ce voyage | RACINE | Andr. I, 1 | envoyer |
| Prononcer mon nom serait m'envoyer à la mort | GENLIS | Théât. d'éduc. Zélie, v, 4 | envoyer |
| Pour dresser le contrat elle envoie au notaire | MOLIÈRE | Fem. sav. IV, 7 | envoyer |
| On envoie aux nouvelles [on envoie chercher des nouvelles] | SÉVIGNÉ | 401 | envoyer |