Citation de BOURDALOUE extraite de l'article "abattu, ue" du dictionnaire de français Littré
Ces mortels ennemis, sur qui l'on avait eu l'avantage, et qui semblaient abattus et vaincus, commencent à se relever
(Louis BOURDALOUE, Pensées, t. III, p. 106)
| Citation | Œuvre | Entrée |
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| [Par la confession] dès qu'on a percé l'abcès et qu'on l'a jeté dehors, on sent tout à coup la sérénité se répandre dans l'âme | Pens. t. I, p. 330 | abcès |
| Il déteste l'autre, il l'abhorre, parce qu'il y voit tout à la fois et Dieu déshonoré et l'homme perdu | Pens. t. III, p. 367 | abhorrer |
| Puisqu'il suit l'âme jusque dans le fond de l'abîme, où il la tient captive et asservie, quand, malgré lui, sera-t-elle en état d'en sortir ? | Pens. t. III, p. 69 | abîme |
| Un abîme attire un autre abîme, et une médisance une autre médisance | Pens. t. III, p. 167 | abîme |
| Ces tristesses profondes où vous vous abîmez | Pensées, t. III, p. 65 | abîmer |
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