Citation de GENLIS extraite de l'article "effaré, ée" du dictionnaire de français Littré
Ce que je ne comprends pas, c'est que l'envie de rire ne vous ait pas pris en voyant nos mines effarées
(Stéphanie Félicité Ducrest de St-Albin, comtesse de GENLIS, Th. d'éduc. l'Amant anonyme, III, 3)
Citation | Œuvre | Entrée |
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Il s'en est allé comme un effaré | Th. d'éduc. la Cur. V, 3 | effaré, ée |
Elle ne fut ni surprise de sa conquête ni effarouchée d'une prompte déclaration | Mme de Maintenon, t. II, p. 3, dans POUGENS | effaroucher |
Elle l'a considérée sans frayeur, parce qu'elle l'a trouvée infiniment moins effrayante qu'elle ne l'avait imaginé | Adèle et Théod. t. II, lett. 12, p. 150, dans POUGENS. | effrayant, ante |
À quel point je suis heureuse ! je suis effrayée de mon bonheur | Adèle et Théod. t. III, lett. 54, p. 373, dans POUGENS. | effrayé, ée |
Modeste, bonne, égale, toujours obligeante, naturelle et réservée | Veillées du château t. I, p. 442, dans POUGENS | égal, ale |
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