Oeuvres et citations de Jean de LA FONTAINE

6934 citations de l'auteur Jean de LA FONTAINE (Page 135 sur 174)

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Citation Œuvre Entrée
.... Ceci montre aux provinces Que, tout compté, mieux vaut, en bonne foi, S'abandonner à quelque puissant roi, Que s'appuyer de plusieurs petits princes Fabl. VIII, 18 province
Dois-je dans la province établir mon séjour ? Fabl. III, 1 province
Le peintre reste avec madame Alis, Provinciale assez belle et bien faite Rémois. provincial, ale
Quand ils [des madrigaux] sont bons, en ce cas, tout prud'homme Les prend au poids au lieu de les compter Poésies mêlées, XVI prud'homme
D'elle descendent ceux de la Prudoterie, Antique et célèbre maison Matr. d'Éph. prudoterie
Voyant une femelle... il baissait la prunelle Herm. prunelle [2]
Oui, ce beau fils, ce tourneur de prunelle Je vous prends sans vert, sc. 1 prunelle [2]
À certain voile aux nonnes familier, Nommé pour lors entre elles leur psautier Psautier. psautier
Ils étaient de ceux-là qui vivent Sur le public, et, craignent peu les coups Fabl. VIII, 7 public, ique
Ô vous ! dont le public emporte tous les soins, Magistrats, princes et ministres ib. XII, 27 public, ique
Un sot par une puce eut l'épaule mordue Fabl. VIII, 5 puce
Pour tuer une puce il voulait obliger Ces dieux à lui prêter leur foudre et leur massue ib. puce
Je la tiens pucelle sans faute, Et si pucelle qu'il n'est rien De plus puceau que cette belle Joc. puceau
On choisit cent pucelles, Toutes sachant broder, aussi sages que belles Filles de Minée. pucelle [1]
Elle tombe, et, tombant, range ses vêtements ; Dernier trait de pudeur même aux derniers moments Filles de Minée. pudeur
Il [l'ami] cherche vos besoins au fond de votre coeur ; Il vous épargne la pudeur De les lui découvrir vous-même Fabl. VIII, 11 pudeur
Vous.... Qui ne pûtes jamais écouter sans pudeur La louange la plus permise ib. X, 15 pudeur
D'où vient que son influence [de Jupiter] Agit différemment sur ces deux hommes-ci ? Puis comment pénétrer jusques à notre monde ? Comment percer des airs la campagne profonde ? Fabl. VIII, 16 puis
Puisqu'on plaide et qu'on meurt et qu'on devient malade, Il faut des médecins, il faut des avocats Fabl. XII, 27 puisque
Toute puissance est faible à moins que d'être unie Fabl. IV, 18 puissance
Après cela doutez de la puissance Des oraisons.... Or. puissance
Notre prince a des dépendants Qui, de leur chef, sont si puissants Que chacun d'eux pourrait soudoyer une armée Fabl. I, 12 puissant, ante
Penses-tu, lui dit-il, que ton titre de roi Me fasse peur ni me soucie ? Un boeuf est plus puissant que toi [lion] Fabl. II, 9 puissant, ante
[Des gens voyant au loin un objet flotter sur l'eau] Ne purent s'empêcher de dire Que c'était un puissant navire ib. IV, 10 puissant, ante
Sur le bord d'un puits très profond Dormait, étendu de son long, Un enfant alors dans ses classes Fabl. V, 11 puits
Un astrologue un jour se laissa choir Au fond d'un puits.... ib. II, 13 puits
Ayant plein puits de ces douceurs Pâté. puits
Les alouettes font leur nid Dans les blés quand ils sont en herbe, C'est-à-dire environ le temps Que tout aime et que tout pullule dans le monde Fabl. IV, 22 pulluler
Le pauvre Ésope se jeta aux pieds de son maître, et, se faisant entendre du mieux qu'il put, témoigna qu'il demandait pour toute grâce qu'on sursît de quelques moments sa punition Vie d'Ésope punition
Aurions-nous bien le coeur et les mains assez pures Pour présider ici sur les honneurs divins, Et prêtres vous offrir les voeux des pèlerins ? Phil. et Baucis. pur, ure
Une femme à Paris faisait la pythonisse ; On l'allait consulter sur chaque événement Fabl. VII, 15 pythonisse
Le quadrupède [un lion] écume, et son oeil étincelle Fabl. II, 9 quadrupède
Messieurs les courtisans, cessez de vous détruire ; Faites, si vous pouvez, votre cour sans vous nuire ; Le mal se rend chez vous au quadruple du bien Fabl. VIII, 3 quadruple
Toute profession s'estime dans son coeur, Traite les autres d'ignorantes, Les qualifie impertinentes Fabl.XI, 5 qualifier
Amour ! amour ! quand tu nous tiens, On peut bien dire : adieu prudence Fabl. IV, 1 quand
Quand ? dans quel temps ? Quand la marierons-nous, quand aurons-nous des gendres ? Fabl. IV, 4 quand
Quand le malheur ne serait bon Qu'à mettre un sot à la raison, Toujours serait-ce à juste cause Qu'on le dit bon à quelque chose Fabl. VI, 7 quand
Il n'est, pour voir, que l'oeil du maître ; Quant à moi, j'y mettrais encor l'oeil de l'amant Fabl. IV, 21 quant [2]
Et quel était le personnage Qui gardait tant son quant-à-moi ? Joc. quant [2]
Quand nous avons quelque différent ma soeur et moi, si je fais la froide et l'indifférente, elle me recherche ; si elle se tient sur son quant-à-moi, je vas au-devant Psyché, II, p. 140 quant [2]
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