Oeuvres et citations de Pierre CORNEILLE

11465 citations de l'auteur Pierre CORNEILLE (Page 203 sur 287)

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Citation Œuvre Entrée
Qu'on l'ôte de mes yeux, et que l'on m'obéisse Poly. V, 3 ôter
Je les laisse en latin, de peur que ma traduction n'ôte trop de leur grâce et de leur force Pomp. au lecteur. ôter
Ôte-lui ton amour, mais laisse-nous sa vie Cid, IV, 2 ôter
Qui m'ose ôter l'honneur craint de m'ôter la vie ! Cid, II, 2 ôter
Souffrez que j'aille ôter mon maître de souci ; Il meurt d'impatience à force de m'attendre la Gal. du Palais, IV, 2 ôter
Ôte-moi d'un doute Cid, II, 2 ôter
Il m'ôte des périls que j'aurais pu courir Poly. IV, 3 ôter
Mais tu lèves le masque, et m'ôtes de scrupule, Je ne puis plus garder ce respect ridicule Perth. IV, 2 ôter
Insolent, ôte-toi pour jamais de ma vue la Place Roy. II, 2 ôter
J'ai cru, pour m'en défaire et m'ôter de souci, Que le meilleur était de l'amener ici Illus. com. IV, 5 ôter
Je vivrai sans reproche, ou périrai sans honte Hor. II, 5 ou
Je ne sais dans son funeste sort, Qui m'afflige le plus, ou sa vie, ou sa mort Rodog. V, 5 ou
Ce n'est pas que Chimène écoute leurs soupirs, Ou d'un regard propice anime leurs désirs Cid, I, 1, scène changée. ou
Où que soit Rosidor, il le suivra de près Clit. IV, 8
Où qu'il [le chrétien] soit, quoi qu'il fasse, il redoute, il chérit Cet être universel à qui rien ne périt Imit. I, chapitre dernier.
Il [l'esprit] se ramène en soi, n'ayant plus où se prendre Cinna, II, 1
Aucun voeu ne m'échappe où j'ose consentir Cid, V, 5
L'attente où j'ai vécu n'a point été trompée Ment. I, 1
L'objet où vont mes voeux serait digne d'un dieu Théod. I, 2
L'hymen où je m'apprête est pour vous une gêne Sertor. IV, 2
Et c'est je ne sais quoi d'abaissement secret Où quiconque a du coeur ne descend qu'à regret Ép. à Ariste.
Je n'invite point à cette lecture ceux qui ne cherchent dans la poésie que la pompe des vers ; ce n'est ici qu'une traduction fidèle où j'ai tâché de conserver le caractère et la simplicité de l'auteur Imit. préf. éd. de 1670
....Que vous cherchiez de ces sages coquettes Où peuvent tous venants débiter leurs fleurettes Ment. I, 1
Contre ceux qu'on pressait de vous faire périr, Je n'avais que les airs par où vous secourir Tois. d'or, III, 7
Par où sera jamais ma douleur apaisée, Si je ne puis haïr la main qui l'a causée ? Cid, III, 3
Par où prétendez-vous mériter une reine ? Sertor. II, 4
Ah ! tu sais me frapper par où je suis sensible Cinna, I, 2
Quelquefois l'un se brise où l'autre s'est sauvé ; Et par où l'un périt, un autre est conservé Cinna, II, 1
Vous n'êtes pas, Sabine, encore où vous pensez Horace, III, 2
Mais que sert la colère où manque le pouvoir ? Sert. I, 2
Assez d'autres sans vous n'ont pas mis en oubli Par quelles cruautés son trône est établi Cinna, I, 2 oubli
J'oubliais à remarquer que la prison où je mets Égée est un spectacle désagréable que je conseillerais d'éviter Médée, Examen. oublier
Le trouble de vos sens dont vous n'êtes plus maître Vous a fait oublier, seigneur, à me connaître Sophon. IV, 5 oublier
Absorbé tout en toi par un parfait amour, Je m'oublierai moi-même et fuirai tout le reste Imit. IV, 13 oublier
Une grande princesse à ce point s'oublier, Que d'admettre en son coeur un simple cavalier ! Cid, I, 3 oublier
De mon propre néant jamais ne m'oublier Imit III, 21 oublier
Philis : Si vous nommez ma flamme un bien commun à tous, Je n'aime, pour le moins, personne plus que vous ; Cela vous doit suffire. - Cléandre : Oui bien à des volages Qui peuvent en un jour adorer cent visages la Place Roy. II, 8 oui
Oyons : - Dorante : Sa courtoisie est extrême et m'étonne Suite du Menteur, I, 2 ouïr
Quoi ! mon père étant mort et presque entre mes bras, Son sang criera vengeance et je ne l'orrai pas Cid, III, 3 ouïr
Oyez ce que les dieux vous font savoir par moi Cinna, V, 3 ouïr
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