Oeuvres et citations de Pierre CORNEILLE

11465 citations de l'auteur Pierre CORNEILLE (Page 166 sur 287)

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Citation Œuvre Entrée
Vous daignâtes m'aimer dès mes plus jeunes ans Mort de Pomp. IV, 3 jeune
Sous les lois du plus jeune on vit marcher son frère Nicom. II, 3 jeune
Et la raison d'État qui rompt votre hyménée Regarde-t-elle plus la jeune que l'aînée ? Agés. IV, 1 jeune
Aucun dans le banquet ne veut l'abandonner [Jésus-Christ], Mais dedans le désert il est seul à jeûner Imit. II, 11 jeûner
Rodrigue a du courage .- Il a trop de jeunesse Cid, II, 3 jeunesse
J'admire ton courage et je plains ta jeunesse Cid, II, 2 jeunesse
Le maître qui prit soin d'instruire ma jeunesse, Ne m'a jamais appris à faire une bassesse Nicom. II, 3 jeunesse
Ceux dont il a gagné la croyance et l'appui Prendront-ils même joie à n'obéir qu'à lui ? Sert. I, 1 joie
Fasse le juste ciel, propice à mes désirs, Que ces longs cris de joie étouffent vos soupirs ! Pomp V, 5 joie
Ô mon fils ! ô ma joie ! ô l'honneur de mes jours Hor. IV, 2 joie
J'avais mis cette bague en des mains assez bonnes Pour la rendre à Don Sanche, et joindre nos couronnes D. Sanche, V, 8 joindre
Joindre nos étendards, c'est grossir son empire Sertor. III, 4 joindre
Joins Sabine à Camille, et ta femme à ta soeur Hor. IV, 7 joindre
Il se voyait perdu, s'il ne vous eût pas joint Sertor. II, 2 joindre
Nos rois lassés du joug et vos persécutés Avec tant de chaleur l'ont joint de tous côtés.... Sertor. V, 1 joindre
Il joint nos députés hier sur la fin du jour D. Sanche, V, 3 joindre
Je me joins avec vous contre cet insensé Poly. V, 3 joindre
Je meure, ton humeur me semble si jolie, Que tu me vas résoudre à faire une folie Suite du Ment. I, 2 joli, ie
Tu le disais tantôt, chacun a sa folie, Les uns l'ont importune, et la tienne est jolie ib. IV, 1 joli, ie
Viens baiser cette joue, et reconnais la place Où fut empreint l'affront que ton courage efface Cid, III, 6 joue
Il faut jouer d'adresse le Ment. II, 5 jouer
Il voit quand on le joue et quand on dissimule Poly. V, 1 jouer
L'infâme et lâche tour qu'un prince m'a joué Nicom. III, 8 jouer
La mort nous les ravit [les biens terrestres], la fortune s'en joue Poly. IV, 3 jouer
Il fallait mettre au joug deux taureaux furieux Médée, II, 2 joug
Si le joug qui l'accable [Rome] est brisé par nos mains Cinna, I, 3 joug
Mon âme a secoué le joug de cent remords Sertor. I, 1 joug
Un joug que m'imposait cette faveur publique D. Sanche, V, 1 joug
Vous jouirez fort peu d'une telle insolence Médée, II, 7 jouir
Leur roi n'a pu jouir de ton coeur adouci Mort de P. V, 4 jouir
Quoi ! Rodrigue, en plein jour ! d'où te vient cette audace ? Cid, V, 1 jour
Mais, monsieur, pensez-vous qu'il soit jour chez Lucrèce ? le Ment. IV, 1 jour
Quoi ! Rodrigue est donc mort ? - Non, non, il voit le jour Cid, IV, 5 jour
J'ai dû cette vengeance à qui m'a mise au jour Cid, V, 7 jour
Mes deux mains à l'envi disputent de leur gloire.... La droite a mis au jour un million de vers Madrigal à Mme Serment. jour
Attendant qu'en plein jour ces vérités paraissent Rodog. V, 4 jour
Ainsi tout votre amour n'est qu'une politique, Et le coeur ne sent point ce que la bouche explique. - Il ne le sentit pas, Albin, du premier jour, Mais cette politique est devenue amour Othon, I, 1 jour
Que pouvons-nous tous deux lorsqu'on tranche nos jours ? Héracl. V, 6 jour
Et d'autant que l'honneur m'est plus cher que le jour, D'autant plus maintenant je te dois de retour Cid, III, 6 jour
Et de sa main il s'est privé du jour Rodog. V, 4 jour
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