Oeuvres et citations de Pierre CORNEILLE

11465 citations de l'auteur Pierre CORNEILLE (Page 129 sur 287)

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Citation Œuvre Entrée
Que le courroux du ciel, allumé par mes voeux, Fasse pleuvoir sur elle [Rome] un déluge de feux ! Hor. IV, 5 feu [1]
Mais vous, que vous vendez de ces toiles de soie !- La lingère : De vrai, bien que d'abord on en vendît fort peu, à présent, Dieu nous aime, on y court comme au feu la Gal. du pal. I, 4 feu [1]
Mais, quoi que m'ordonnât cette âme toute en feu, Je promettais beaucoup et j'exécutais peu Rodog. I, 6 feu [1]
L'âme toute en feu, les yeux étincelants Théodore, IV, 4 feu [1]
Ton frère, je l'avoue, a beaucoup de mérite ; Mais souffre qu'envers lui cet éloge m'acquitte, Et ne m'entretiens plus des feux qu'il a pour moi la Place roy. I, 1 feu [1]
Souviens-toi du beau feu dont nous sommes épris Cinna, I, 3 feu [1]
Et si Rome savait de quels feux vous brûlez Nicom. I, 2 feu [1]
À quelque point qu'on aime, Quand le feu diminue, il s'éteint de lui-même Suréna, IV, 2 feu [1]
Si le ciel pour mon choix vous donne tant de haine, Vous a-t-il mise en feu pour ce grand capitaine ? l'Illus. com. III, 1 feu [1]
Suivant le testament du feu roi notre père Pomp. I, 2 feu, feue [2]
Vous avez feuilleté le digeste à Poitiers Ment. v, 1 feuilleter
Comme tout ce discours n'était que fiction, Je cachais mon retour et ma condition Ment. V, 6 fiction
Ah ! mon fils, qu'il est partout des traîtres ! Qu'il est peu de sujets fidèles à leurs maîtres Nicom. V, 8 fidèle
Ô d'un trouble inconnu présage trop fidèle ! Oth. v, 6 fidèle
Va, tu me veux en vain rappeler à la vie ; Ma haine est trop fidèle et m'a trop bien servie Rod. V, 4 fidèle
Quand on veut soutenir ceux que le sort accable, à force d'être juste on est souvent coupable, Et la fidélité qu'on garde imprudemment Après un peu d'éclat traîne un long châtiment Pomp. I, 1 fidélité
D'ailleurs, si par les biens on prise les personnes, Le théâtre est un fief dont les rentes sont bonnes l'Illus. com. V, 5 fief
Le théâtre est un fief dont les rentes sont bonnes Illus. V, 5 fief
Ciel ! à qui voulez-vous désormais que je fie Les secrets de mon âme et le soin de ma vie ? Cinna, IV, 3 fier [1]
Cher prince, dont je n'ose en mes plus doux souhaits Fier encor le nom aux murs de ce palais Rodog. III, 3 fier [1]
À peine je me fie encore à mes oreilles Poly. IV, 5 fier [1]
Seigneur, voulez-vous bien vous en fier à moi ? Nicom. IV, 3 fier [1]
Déjà les deux armées.... Se menaçaient des yeux, et, marchant fièrement.... Hor. I, 4 fièrement
Ah ! si, non plus que vous, je n'ai point le coeur bas, Nos fiertés pour cela ne se ressemblent pas Att. III, 4 fierté [1]
La perte de Sylla n'est pas ce que je veux ; Rome attire encor moins la fierté de mes voeux Sertor. IV, 2 fierté [1]
Leur retraite [des serviteurs de Dieu] en vrais biens se voit toujours féconde, Et trouve un plein repos dans la digne fierté Qui leur fait négliger le monde Imit. III, 10 fierté [1]
Mais pourrais-je vous dire à quelle impatience Ces indignes trépas quoique mal figurés Ont porté les esprits de tous nos conjurés Cinna, I, 3 figuré, ée
L'impétueuse ardeur d'un courage sensible à vos ressentiments figure tout possible Médée, I, 5 figurer
Et ton coeur insensible à ces tristes appas Se figure un bonheur où je ne serai pas Poly. IV, 3 figurer
Ne vous figurez point que ce soit le confondre, Que de le laisser faire et ne point lui répondre Nicom. V, 2 figurer
Je m'étais figuré que de tels déplaisirs Pourraient ne me coûter que deux ou trois soupirs Sertor. IV, 2 figurer
Le devoir d'une fille est dans l'obéissance Hor. I, 4 fille
Jetez sur votre fille un regard paternel Poly. V, 3 fille
Souffrez que votre fille embrasse vos genoux ib. III, 3 fille
Un noble orgueil m'apprend qu'étant fille de roi, Tout autre qu'un monarque est indigne de moi Cid, I, 4 fille
Filles de l'Achéron, pestes, larves, furies.... Médit. I, 4 fille
Chaque moment d'attente ôte de notre prix, Et fille qui vieillit tombe dans le mépris ; C'est un nom glorieux qui se garde avec honte Menteur, II, 2 fille
Et sous le nom d'un fils toute faute est légère Nicom. II, 2 fils
Là, là, n'en riez point ; autrefois, en mon temps, D'aussi beaux fils que vous étaient assez contents, Et croyaient de leur peine avoir trop de salaire, Quand je quittais un peu mon dédain ordinaire Mélite, V. 7 fils
Je vous embarrassai, n'en faites point la fine Ment. V, 6 fin, fine [2]
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