Oeuvres et citations de Nicolas BOILEAU-DESPRÉAUX

4779 citations de l'auteur Nicolas BOILEAU-DESPRÉAUX (Page 86 sur 120)

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Citation Œuvre Entrée
Il me promène après de terrasse en terrasse Art p. I promener
Chacun suit dans le monde une route incertaine, Selon que son erreur le joue et le promène Sat. IV promener
J'aime mieux un ruisseau qui, sur la molle arène, Dans un pré plein de fleurs lentement se promène Qu'un torrent.... Art p. I promener
Aux plus savants auteurs comme aux plus grands guerriers Apollon ne promet qu'un nom et des lauriers Art p. IV promettre
Un jeune homme, toujours bouillant dans ses caprices, Est prompt à recevoir l'impression des vices Art p. III prompt, ompte
Achille déplairait moins bouillant et moins prompt Art p. III prompt, ompte
.... je vois, sur ce début de prône, Que ta bouche déjà s'ouvre large d'une aune Ép. X prône
Cependant cet oiseau qui prône les merveilles [la Renommée] Lutr. II prôner
Que nous prônez-vous là ? Quoi qu'en ses beaux discours Saint-Évremont nous prône Sat. X prôner
Mais, pour borner enfin tout ce vague propos Sat. X propos
Chacun sait son métier ; Suivons notre propos ib. x. propos
Le Parnasse surtout, fécond en imposteurs, Diffame le papier par ses propos menteurs Épit. IX propos
Un libertin.... qui.... Tient que ces vieux propos de démons et de flammes Sont bons pour étonner des enfants et des femmes Sat. IV propos
De propos en propos on a parlé de vers ib. III propos
On dit, à ce propos, qu'un jour ce dieu bizarre.... Art p. II propos
Si la rime Allait mal à propos m'engager dans Arnheim, Je ne sais pour sortir de porte qu'Hildesheim Ép. IV propos
Le seul chanoine Évrard, d'abstinence incapable, Ose encor proposer qu'on apporte la table Lutr. IV proposer
Ces grands hommes que nous nous proposons à imiter Longin, Sublime, 21 proposer
Et qui vont tous les jours, d'une importune voix, T'ennuyer du récit de tes propres exploits Disc. au roi. propre
Il [Balzac] a effectivement des qualités merveilleuses ; on peut dire que jamais personne n'a mieux su sa langue que lui, et mieux entendu la propriété des mots et la juste mesure des périodes Longin, Subl. réfl. 7 propriété
L'audace du docteur, par ce discours frappée, Demeura sans réplique à ma prosopopée Ép. XI prosopopée
Mais je veux que le sort, par un heureux caprice, Fasse de vos écrits prospérer la malice Sat. IX prospérer
Mais souvent sur ses vers un auteur intraitable à les protéger tous se croit intéressé Art p. I protéger
Mais bientôt, rappelant son antique prouesse, Il [le prélat] tire du manteau sa dextre vengeresse Lutr. v. prouesse
[Des vers] Par le prompt effet d'un sel réjouissant Devenir quelquefois proverbes en naissant Ép. x. proverbe
Sache quelle province enrichit les traitants, Combien le sel au roi peut fournir tous les ans Sat. VIII province
L'enragé qu'il était [Alexandre], né roi d'une province Qu'il pouvait gouverner en bon et sage prince Sat. VIII province
L'un et l'autre, à mon sens, ont le cerveau troublé, Répondra, chez Fredoc, ce marquis sage et prude Sat. IV prude
Évrard seul, dans un coin prudemment retiré, Se croyait à couvert de l'insulte sacré Lutr. v. prudemment
J'imite de Conrart le silence prudent Épît. I prudent, ente
Le feu sort à travers ses humides prunelles Épître IV prunelle [2]
On lit peu ces auteurs nés pour nous ennuyer, Qui toujours sur un ton semblent psalmodier Art p. I psalmodier
Lui seul [un médecin] v fit longtemps la publique misère Art p. IV public, ique
Eschyle.... Sur les ais d'un théâtre en public exhaussé Fit paraître l'acteur d'un brodequin chaussé Art p. III public, ique
Sans le secours des vers, leurs noms [des anciens héros] tant publiés Seraient depuis mille ans avec eux oubliés Ép. I publié, ée
Mais quoi que notre siècle à sa gloire [du Tasse] publie Art p. III publier
Et combien la Neveu.... A de fois au public vendu son pucelage Sat. IV pucelage
Je veux dans la satire un esprit de candeur, Et fuis un effronté qui prêche la pudeur Art p. II pudeur
Si toujours dans leur âme [des ministres protestants] une pudeur rebelle, Près d'embrasser l'Église, au prêche les rappelle Ép. III pudeur
Le défaut du style enflé, c'est de vouloir aller au delà du grand ; il en est tout au contraire du puéril ; car il n'y a rien de si bas, de si petit, ni de si opposé à la noblesse du discours Longin, Sublime, ch. 2 puéril, ile
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