Oeuvres et citations de Pierre Augustin Caron de BEAUMARCHAIS

503 citations de l'auteur Pierre Augustin Caron de BEAUMARCHAIS (Page 2 sur 13)

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Citation Œuvre Entrée
Eh ! eh ! notre ami, cela vous contrarie et vous dégrise un peu Barb. de Sév. II, 14 dégriser
Envahir les biens d'une maison qui se délabre Mère coup. I, 2 délabrer
Je suis la pauvre comtesse Almaviva, la triste femme délaissée que vous n'aimez plus Mar. de Fig. II, 19 délaissé, ée
Délogez à l'instant ! - Déloger ! ah fi ! que c'est mal parler ! Barb. de Sév. II, 12 déloger [1]
Que peut requérir la demanderesse ? mariage, à défaut de payement Mar. de Fig. III, 15 demandeur, euse
Comme il fait surtout des efforts pour dénaturer sa fortune Mère coup. I, 2 dénaturer
Joli oiseau, ma foi ! difficile à dénicher Barb. de Sév. I, 4 dénicher [1]
J'avais quelque envie de t'emmener à Londres, courrier de dépêches Mar. de Fig. III, 5 dépêche
Chanter sans guitare à Séville ! vous seriez bientôt reconnu ma foi, bientôt dépisté Barb. de Sév. I, 6 dépisté, ée
Le mari de ta mère était fort dérangé ; en mourant, il ne laissa rien Mère coup. II, 3 dérangé, ée
Quel intérêt assez pressant lui fait faire une telle école, desserre les dents d'un tel homme ? Mère coupable, II, 7 desserrer
J'errais de plaine en plaine Au gré du destrier Mar. de Fig. II, 4 destrier
Antonio : Il n'y a que moi qui prends soin de votre jardin ; il y tombe un homme, et vous sentez que ma réputation en est effleurée. - Suzanne à Figaro : Détourne, détourne. - Figaro : Tu boiras donc toujours Mar. de Fig. II, 21 détourner
Dévoiler la honte d'un père, ce serait un crime Mère coup. II, 20 dévoiler
Brid'oison : Mais si tu dois et que tu ne payes pas...? - Figaro : Alors, monsieur voit bien que c'est comme si je ne devais pas Mariage, III, 13 devoir [1]
Nous servions dans le même régiment, dont je vous dois d'être major Mère coup. I, 8 devoir [1]
N'est-ce pas Double-Main le greffier ? - Oui, c'est qu'il mange à deux râteliers. - Manger ! je suis garant qu'il dévore Mar. de Fig. III, 13 dévorer
Que voulez-vous ! ce diable d'homme a toujours ses poches pleines d'arguments irrésistibles Barb. de Sév. IV, 8 diable
La nuit est noire en diable Mariage de Fig. V, 3 diable
Diantre soit des femmes qui fourrent des épingles partout ! Mar. de Fig. IV, 9 diantre
Tu éternueras dimanche [Bartholo parlant à un domestique qui éternuait sans cesse] Barbier, II, 7 dimanche
Vous avez lésiné sur les frais ; et, dans l'harmonie du bon ordre, un mariage inégal, un jugement inique, un passe-droit évident sont des dissonances qu'on doit toujours préparer et sauver par l'accord parfait de l'or Barbier de Sév. II, 8 dissonance
Le poste n'était pas mauvais, parce qu'ayant le district des pansements et des drogues, je vendais souvent aux hommes de bonnes médecines de cheval Barb. de Sév. I, 2 district
Aujourd'hui ce qui ne vaut pas la peine d'être dit, on le chante Barb. de Sév. I, 2 dit, dite [1]
Effrayons d'abord la Suzanne sur la divulgation des offres qu'on lui fait Mar. de Fig. I, 4 divulgation
Bras dodus, bouche rosée Barbier de Sév. II, 2 dodu, ue
La chère Suzanne, chargée de toute la confiance, sere notre surintendante, commandera la domesticité Mère coup. I, 4 domesticité
Et faut bien que ça soit vrai, car j'ai commencé à me douloir dans tous les membres Barb. de Sév. II, 6 douloir (se)
Vous iniuriez toujours notre pauvre siècle. - Pardon de la liberté ; qu'a-t-il produit pour qu'on le loue ? sottises de toute espèce, la liberté de penser, l'attraction, l'électricité, le tolérantisme, l'inoculation, le quinquina, l'encyclopédie et les drames Barbier de Séville, I, 3 drame
J'eus la faiblesse de vous présenter en différents temps deux tristes drames ; production monstrueuse, comme on sait ; car, entre la tragédie et la comédie, on n'ignore plus qu'il n'existe rien ib. Préface drame
Cent fois je t'ai vu marcher à la fortune, et jamais aller droit Figaro, III, 5 droit, droite [1]
Marceline : C'est une si jolie personne que madame. - Suzanne : Eh mais, assez pour désoler madame. - Marceline : Surtout bien respectable. - Suzanne : C'est aux duègnes à l'être. - Marceline, outrée : Aux duègnes ! aux duègnes ! Mar. de Fig. I, 5 duègne
Dulciter, papa, chacun son affaire Barbier de Séville, II, 14 dulciter
Et voilà mon Marin [avocat de la partie adverse], les bras retroussés jusqu'au coude et pêchant le mal en eau trouble 4e mémoire. eau
Les Français sont comme les enfants qui braillent lorsqu'on les éberne dans le Dict. de POITEVIN. éberner
Bartholo : La demoiselle est mineure. - Figaro : Elle vient de s'émanciper Barbier, IV, 8 émanciper
Ô ces femmes ! voulez-vous donner de l'adresse à la plus ingénue, enfermez-la Barbier, I, 4 enfermer
Je me suis enferré de dépit Barbier, III, 2 enferrer
Il exhale un tel feu qu'il m'a presque enfiévré de sa passion Barbier, II, 2 enfiévrer
Le comte à part : Il veut rester ; j'entends.... Suzanne m'a trahi. - Figaro : Je l'enfile et le paye en sa monnaie Mar. de Figaro, III, 5 enfiler
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